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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 19:29

Après un automne en forme d'été indien, un début d'hiver cataclysmique avec une neige lourde qui a mis à terre bon nombre d'arbres voici ce que nous offre la nature: Une floraison de forsythia le 8 janvier 2014.

 

forsythia-080114--1-.JPG

 

 forsythia-080114--2-.JPG

 

 

Ces petites fleurs sont l'occasion pour vous souhaiter une bonne et excellente année 2014.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 09:34

Merci à Thierry Cornier d'avoir mis à notre disposition cet article très complet qui saura éclairer les esprits les plus fins sur un sujet passionnant mais rarement abordé: La flore.

L'article comporte 32 pages scannées, bonne lecture et merci encore à Thierry, n'oubliez pas le lui laisser un petit commentaire.

 

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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 07:57

Le Magniolia de Soulange est un hybride crée par le botaniste français Etienne Soulange bodin , c'est un arbre superbe à feuilles caduques qui arborent une floraison printanière exceptionnelle.

 floraison magnolia4

Ce Magniola Soulangeana est planté dans mon jardin depuis une bonne quinzaine d'année et c'est seulement cette année que j'ai pu observer sa fructification.

 floraison magnolia

  

Déjà la floraison a été tardive et très abondante à la faveur d'un printemps chaud. Par la suite j'ai découvert comme des galles ou des tumeurs qui se développaient là ou se tenaient les fleurs.

 floraison magnolia1

  

Ces galles ont continué leur croissance pour arriver à cet amas presque tumoral. Puis les excroissances ont fendu et dans chaque bogue se tenait une graine rouge grosse comme une petite fève. J'en ai récupéré quelques une pour tenter de voir si elles pouvaient donner des Magniolas de même type. Bien entendu étant donné que c'est un hybride, les graines ont peu de chance de donner le même arbre.

 

Cette floraison est plutôt rare et semble arriver durant les années sèches, généralement quand un arbre d'ornement fructifie ce n'est pas bon signe. Il se fatigue a fructifier et il arrive fréquemment qu'il en crève quelques temps plus tard.

floraison magnolia2 

 

 

 

Drôle d'arbre ce Magniolia !

 

floraison magnolia3

 

 

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 20:11

 

Dans la série des arbres peu communs présents sur le bourg, je vous présente le Ginkgo Biloba.

 

arbres 0003Appelé arbre aux quarante écus il est le seul représentant mondial de la famille des ginkgoaceae. On l'appelle fossile vivant car il est le dernier qui représente sa famille et surtout on a trouvé des fossiles de lui qui datent de 270 millions d'années, soit 40 millions d'années avant l'apparition des dinosaures.

 

La famille des ginkgoaceae est quand même la plus ancienne famille d'arbres connus sur notre bonne vieille planète. Notre ginkgo est potentiellement immortel, il n'a aucun prédateur, ni parasite, ni maladie connues, en somme un arbre parfait.

 

 

 

Ginkgo_biloba4.jpgCe ginkgo et tous ceux qui peuplent nos jardins sont originaires du sud est de la Chine  où il est endémique. Le premier ginkgo introduit en Europe le fut en Hollande grâce à une graine plantée en 1730.

 

Sa première introduction en France date de 1778 au jardin botanique de Montpellier. Ce ginkgo est toujours vivant.

 

arbres-0005.JPGPlus proche de chez nous, on en trouve un superbe exemplaire entre Chalon et Macon à Sennecey le Grand (71), il est dans une cour en centre ville et parfaitement visible de la route nationale 6.

 

Son nom de Biloba vient simplement du fait que sa feuille se sépare en deux lobes

 

Son surnom d'arbres aux quarante écus a plusieurs origines, une légende qui circule nous dit qu'un botaniste aurait acheté 5 plants de ginkgo à un botaniste anglais pour la somme de 200 livres, soit 40 écus. Peut être est ce vrai, il n'empêche que le ginkgo est le plus beau en automne où toutes ses feuilles prennent une superbe teinte dorée.

 ginkgo-biloba-L-10.jpg

Concernant sa fructification, que nous ne connaitrons jamais en France, tout simplement parce que tous les arbres sont issus de bouturage d'exemplaires mâles, elle pue vraiment.

arbres-0004.JPGCet arbre ne produit pas de fruit ni de graine mais un ovule qui sera fécondé par des pollens. Pas de floraison pour le ginkgo, juste cet ovule qui en tombant au sol va dégager une odeur puissante de vomi ou de beurre rance.

 

L'une des particularités de cet arbre qui a traversé des millions d'années d'évolution sans changer est qu'il n'a pas souffert de l'explosion Hiroshima, il possède une très forte résistance aux effets mutagènes, ce qui a bloqué son évolution mais qui lui permet de survivre à presque tout. C'est ainsi qu'on le trouve beaucoup en ville où il résiste à la pire des pollutions.

 

Il prospère depuis 1994 dans mon terrain et résiste bien au froid et à la sècheresse. Un bel arbre à planter pour décorer son terrain.

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18 juillet 2011 1 18 /07 /juillet /2011 19:48

 

Ce blog à l'honneur d'accueillir Thierry CORNIER, éminent spécialiste de la flore locale qui au travers de plusieurs articles à venir nous présentera la végétation typique de notre hameau.

Je me suis juste permis d'y incruster quelques illustrations.

 

 

                  Flore et végétation de Fragny

 

par Thierry Cornier-Peden

 

Le milieu physique

Quand on souhaite étudier la flore et la végétation d’un site ou d’une région naturelle, il est indispensable de s’intéresser en priorité aux caractéristiques physiques (voire chimiques) du milieu ainsi qu’à son évolution historique même si cette dernière est plus difficile à retracer : usages des sols, pratiques agricoles et sylvicoles et autres activités passées ou encore actuelles susceptibles d’influer sur les milieux et la dynamique de la végétation.

Région naturelle, géologie et sols

Fragny appartient selon Bardet et al. (2008) à la région naturelle des Massifs d’Uchon et de Montjeu. Cette région naturelle s’insère entre le Plateau d’Antully à l’est, le Bas Morvan méridional à l’ouest et le Bassin d’Autun au nord. Elle appartient à l’ensemble structural du Morvan alors même qu’elle s’en éloigne quelque peu si l’on considère l’Arroux comme une frontière naturelle géographique. Si la délimitation des régions naturelles avait été effectuée plus finement, Fragny aurait pu être rattaché au Plateau d’Antully d’autant que le village se situe sur le même plateau, dans une zone de transition. Le Plateau d’Antully se caractérise par sa géomorphologie relativement plane (situation dominante à Fragny et ses abords immédiats) et, sur le plan géologique, par des grès associés à des argiles triasiques ainsi que par des calcaires silicifiés de l’Hettangien. On identifie quelque peu les mêmes formations géologiques à Fragny puisqu’on trouve (Courel et al., 1989) :

carte-geo.jpg§  des grès fins et grès arkosiques (Trias gréseux) en Forêt de Planoise et sur une grande surface de l’ouest des parties les plus basses de Fragny qui rejoignent les Blanchots et le Bois de la Tommère. Ces grès siliceux engendrent des sols nettement acides et peu fertiles : cela explique largement que ces sols soient le plus fréquemment couverts par la forêt ;

§  des leucogranites à deux micas et parfois de cordiérite ou de tourmaline, de type Mesvres (Namurien-Westphalien) que l’on retrouve sur le versant ouest de la Forêt de Planoise, aux abords de la route départementale 287 et dans les parties les plus hautes du village. On retrouve cette formation qui affleure aux environs des « quatre chemins ». Là aussi, les sols issus de ces roches sont globalement acides, pauvres et forestiers ;

§  des argiles et grès blonds (Rhétien) et du calcaire lumachellique à Cardinies (Hettangien) qui se localisent essentiellement au niveau des habitations, des jardins et des terres de la partie la plus septentrionale du village, sur une bande nord-sud de largeur variable entre le nord de Saint-Georges jusqu’à la Bondelue. On pourrait aisément en conclure que les sols les plus intéressants à cultiver, se trouvent principalement sur cette formation géologique. Toutefois, compte tenu de leur nature argileuse en profondeur, ces sols sont parfois hydromorphes (caractère humide asphyxiant) du fait notamment de leur position topographique : cuvette de la « mouille » au sud de Saint-Georges. Le caractère modérément alcalin et calcaire du sol n’est pas très évident à repérer à Fragny, d’autant que ce caractère n’est pas très tranché et surtout perturbé par les mélanges éventuels avec les formations superficielles voisines, majoritairement acides. Enfin, l’action de l’homme a souvent effacé les caractéristiques physicochimiques des sols originels, à la fois par l’apport d’engrais et d’amendements divers à vocation agricole, mais surtout par des remblais d’origines diverses, surtout aux abords des habitations, des chemins et des routes. Ainsi, à Fragny, on rencontre çà et là quelques plantes sauvages caractéristiques des sols calcaires près de certains chemins, mais on ne peut pas en conclure qu’il existe véritablement une flore ou des végétations calcicoles à Fragny. En revanche, l’observation de la composition floristique de certaines prairies à Saint-Georges montre clairement des végétations acidiclines (transition acide-calcaire) ;

§  des formations de plateaux (limons et lœss, remaniés ou non) qui se localisent presque exclusivement dans les prés et pâtures de Saint-Georges, partie nord de la « mouille » comprise. Cette formation est assez délicate à repérer sur le terrain, d’autant qu’elle se confond largement avec la précédente.

En dehors des sols remaniés (jardins, terres labourées), les sols de Fragny ont généralement des pH acides à neutres. Parmi ceux-ci, on identifie globalement des sols bruns ou lessivés acides. Tous ces sols sont globalement peu perméables car ils possèdent des horizons argileux d’accumulation en profondeur.

On trouve, notamment dans les « bas » de Fragny (« mouilles » de Saint-Georges et des Blanchots), des sols hydromorphes, caractérisés par la présence d’un horizon argileux en profondeur : présence de gleys (argile verte avec fer réduit) ou de pseudogleys (argile verte mêlée d’argile rouge avec fer oxydé). Enfin, dans les zones humides favorables à l’accumulation de matière organique mal décomposée, on note la présence de sols plus ou moins tourbeux.

Climat

fragny.jpgDu point de vue climatique, Fragny appartient clairement au massif de l’Autunois et possède des caractéristiques assez proches de celles du Morvan, avec toutefois des nuances. Les précipitations, sont un peu supérieures à 1000 mm/an. D’après Kessler & Chambraud (1990), on relève 1060 mm/an à Antully contre 810 mm/an à l’aérodrome d’Autun. Ces précipitations sont légèrement plus faibles que dans le Morvan à altitude équivalente. Le nombre de jours annuels de gel relevés à Autun est de 87 (Kessler & Chambraud,1990). Il est sensiblement plus important à Fragny : par temps clair, la nébulosité moindre à Fragny qu’à Autun (brouillards moins fréquents et moins durables) favorisent le refroidissement nocturne et donc les gelées matinales, y compris parfois en été (premières gelées blanches constatées il y a une quinzaine d’années à Saint-Georges fin août ou début septembre lors de belles journées ensoleillées assez chaudes).

On constate aussi un climat davantage marqué par le caractère continental en comparaison avec le Morvan : été relativement plus arrosé mais plus chaud et sans doute des hivers plus froids à altitude identique. En tout état de cause, on ne retrouve pas certaines plantes qui marquent bien le caractère atlantique comme par exemple, certaines bruyères, uniquement présentes sur la façade ouest du Morvan : Erica cinerea L. (Bruyère cendrée) et Erica tetralix L. (Bruyère à quatre angles).

En définitive, on peut considérer que Fragny est bien arrosé et qu’il y fait froid en hiver. Ces caractéristiques expliquent en grande partie l’existence de végétations de tourbières soligènes (dépendantes de sources et de suintements) à topogènes (dépendantes de la présence d’une nappe d’eaux stagnantes affleurantes dans une dépression). Ces tourbières, de natures diverses, se localisent à Saint-Georges ainsi qu’aux abords de l’étang des Cloix.

Topographie, hydrographie

Le village de Fragny se déploie principalement sur un plateau, ce qui signifie que les pentes sont peu prononcées alors même que l’altitude est loin d’être négligeable : de 542 m au pont de Saint-Georges (station de pompage des « quatre chemins ») jusqu’à plus de 600 m sur les hauteurs de la Forêt de Planoise à quelques centaines de mètres à l’est de Saint-Georges. Ce relief peu accidenté et l’absence de pentes marquées sont en principe peu favorables à la diversité des conditions écologiques et microclimatiques : absence de parois rocheuses, de zones fortement exposées au sud ou à contrario au nord. La différenciation d’adrets et d’ubacs est donc peu marquée à Fragny, on ne les retrouve partiellement que lorsqu’on quitte le village par le nord en direction d’Autun ou par le sud vers Broye. Toutefois, il existe des zones plus froides en hiver liées à l’ombrage forestier, singulièrement lorsque les conifères persistants sont localement abondants : la neige y reste plus longtemps en hiver. On constate le même phénomène en modèle réduit lorsque le sous-bois est garni de touradons de Molinia caerulea (L.) Moench (Molinie bleue) ou de coussinets de Calluna vulgaris (L.) Hull (Callune).

fragny-relief.jpgCompte tenu de sa position de plateau et de l’existence de sols et sous-sols généralement imperméables, l’eau est assez omniprésente à Fragny, notamment dans les points bas. Plusieurs ruisseaux y naissent :

§  au sud-est, le Ruisseau de la Forêt aux Merles qui émerge dans les prairies des Blanchots et qui est renforcé par d’autres apports latéraux comme la Source du Bois Mathey ;

§  au sud-ouest, le Ruisseau de Bière qui vient du Bois des Blanchots ;

§  au nord, une des branches du Ruisseau de Brisecou issue de l’étang Saint-Georges, lequel est alimenté, entre autres, par une source jaillissant sous la tourbe. Notons également qu’un drain (« Lignes des eaux ») situé à l’ouest de l’étang Saint-Georges recueille au moins depuis 1945 des eaux pour l’eau potable de la ville d’Autun. Il s’agit probablement du même aquifère que celui qui alimente la source de l’étang.

La nature physicochimique des eaux est variable. Sans avoir à disposition des analyses précises, les eaux du Ruisseau de la Forêt aux Merles sont assez chargées en nutriments azotés et phosphorés (compte tenu de la flore aquatique et amphibie observée). Cela s’explique par les apports d’engrais et de fumures aux Blanchots et dans les bas de Fragny et sans doute, jusqu’à une période récente (avant le raccordement au collecteur d’eaux usées), par les apports diffus en provenance de fosses septiques du village.

Les eaux de l’étang Saint-Georges et de sa source ont fait l’objet d’analyses physicochimiques et microbiologiques à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Ces eaux sont oligotrophes (pauvres en éléments nutritifs), très douces (très peu chargées en carbonates de calcium) et de pH néanmoins modérément acides (pH de l’ordre de 6,5) même si ce dernier doit être assez variable dans le temps en fonction de la saison et des précipitations. En période de pluie soutenue, le ruisseau de surface émergeant de la tourbière boisée au sud de l’étang a un pH nettement acide (voisin de 4) compte tenu de l’entraînement des acides humiques et fulviques de la tourbe, donnant une couleur thé caractéristique à l’eau de l’étang.

La géologie, les sols, la topographie, les conditions climatiques locales ainsi que l’usage historique des sols à Fragny ont conditionné l’existence de végétations diversifiées, assez typiques et abritant localement une flore d’une grande richesse.

A suivre…

Références bibliographiques

Bardet O., Fédoroff E., Causse G. & Moret J., 2008. – Atlas de la flore sauvage de Bourgogne. Ed. Biotope, Mèze (Collection Parthénope), Muséum national d’histoire naturelle, Paris, 752 p.

Courel L., Arène J., Feys R., Gand G., Menot C., Cornet J. & Guillaumet J.P., 1989. –  Carte géologique de la France à 1/50 000. Notice explicative de la feuille Le Creusot. Editions BRGM, Orléans, 54 p.

Kessler J. & Chambraud A., 1990. – Météo de la France. Tous les climats, localité par localité. éditions J.C. Lattès, Paris, 391 p.

 

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5 juin 2011 7 05 /06 /juin /2011 20:31

Après l'histoire du village et sa vie actuelle, j'ai décidé d'un inventaire, bien entendu non exhaustif, des plantes,arbres, animaux qui peuplent notre village.

 

Premier article de cette série je vous présente un arbre, magnifique et éttonant: le tulipier de Virginie. Orifinaire d'Amérique, il couvre une grande partie du continent US coté est et centre.

 

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Le tulipier est l'un des rares arbres qui fleurit vraiment mais cette floraison est plutôt discrète avec une fleur qui tire sur le vert jaunissant.

 

Son nom latin est une véritable poésie "liriodendron tulipiféra". Du grec Leiros pour Lys et Dendron pour arbre. Il appartient à la famille des Magniolas dont il se démarque par la forme des ses feuilles et surtout par sa façon de pousser. En effet une pousse de feuille va comporter deux pédoncules feuillus qui vont s'ouvrir pour laisser la place au pédoncule portant la feuille trilobée.

On peut dire que cet arbre pousse comme s'il était à chaque fois un nouvel arbre sorti d'une graine.

 

Il a été introduit en france début 1700 et son exemplaire le plus connu était le tuplipier de Marie Antoinette planté à Versailles en 1771 et abattu par la tempète de 1999.

 

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Il résite bien à nos latitudes pré morvandelles et ses larges feuilles donnent une ombre idéale en été.

 

Il est bien présent sur Fragny avec deux beaux exemplaires situés à l'entrée de la rue de la Garenne Bretin. Il atteint 20 à 30 mètres sous nos latitudes.

 

Un réel tulipier remarquable se trouve sous le grand virage de la route qui relie Autun à Fragny. Planté il y a plus d'un siècle, peu de gens le connaissent pourtant on le voit bien de la route, il est situé derrière l'arbre qui ressemble à un if mais qui n'en est pas un (j'y reviendrai un jour), son tronc est très noueux. Selon l'ONF il est en fin de vie.

 

Voici une photo des fleurs de mon tulipier, il lui faut une bonne dizaine d'année avant de vous offrir sa première floraison.

 

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